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Khar'aMell, la minette qui danse.

Khar'a Mell
Khar'a Mell
I like dancing ~ Happy cat mascot.
Messages : 39
Age : 32
Classe : Laguz félin (chat)
Mar 24 Juil - 14:26
Khar'a Mell

Khar'a Mell

NOM : Mell
PRÉNOM : Khar'a
SURNOM : La danseuse féline. Ouais, elle aime la danse.
ÂGE : Autour de 17 ans
SEXE : Féminin, of course !
RACE : Laguz chatmiaou !
PEUPLE/CLASSE : Félins
PAYS D'ORIGINE : Gallia




Me, Myself, I

PSYCHOLOGIE : Quite à sacrifier au cliché, on peut dire que Khar'a est du genre énergique. Elle est perpétuellement en train de sauter partout et de s'extasier sur les merveilles de la vie, bien qu'elle soit d'une méfiance presque paranoïaque dès qu'il s'agit de l'humanité. Si on devait résumer ce comportement à l'échelle des chats, elle est du genre à tendre la patte pour toucher, puis à la rétracter, puis à la retendre et ainsi de suite...
Plutôt ouverte, elle apprécie le voyage et la découverte de nouvelles choses, mais ce qui la passionne réellement, ce sont les arts. Que ce soit la peinture, le chant, la danse ou l'écriture, elle aime tout ce qui est beau, tout ce qui est imaginatif, ce qui peut éveiller en elle des sentiments puissants par la simple vision de ce que quelqu'un à créé, qu'il s'agisse d'un Beorc ou d'un Laguz. Ce qu'elle ne comprend pas en revanche, c'est comment les Beorc - ou les Humains comme les appellent sa mère - peuvent créer d'aussi belles choses tout en sachant se montrer parfaitement horribles... Ce violent contraste ne cesse de la dérouter, et c'est sans doute ce qui est à l'origine de sa tendance à se montrer curieuse mais méfiante à la fois.
Pacifique, Khar'a n'aime pas régler un conflit par la violence, mais elle sait se défendre en cas de problème. Bien qu'elle n'excelle pas dans la pure force physique, son agilité lui permet d'éviter les attaques de ses ennemis, et ses griffes peuvent faire très mal si le besoin s'en fait réellement sentir. Cela dit, si elle peut éviter d'en arriver aux mains, elle préfère encore...
Après, il ne faut pas le nier : C'est complètement chaotique dans son esprit. Elle ne se soucie jamais du lendemain, vivant au jour le jour sans prévoir plus loin que le soir même. Elle ne s’embarrasse pas des préoccupations bassement matérielles, puisque de toute manière elle peut chasser sous sa forme animale et dormir parfaitement confortablement installée à peu près où elle veut. Insouciante, voila le mot... Très liée à la nature, elle aime énormément l'eau, ce qui peut en étonner certain du fait de sa nature féline. Mais pour elle, une bonne baignade vaut tout l'or du monde.
Aventureuse, Khar'a aime les défis et se laisse facilement emporter par l'esprit de compétition. Même lorsqu'elle ne se sent pas capable de gagner un défi, elle essaye tout de même de participer, et si la défaite la rend boudeuse elle sait se montrer bonne joueuse et féliciter le vainqueur. Après faut pas croire, elle est pas suicidaire non plus et elle sait éviter un défi s'il s'avère réellement dangereux...
Comme dit précédemment, la féline aime les plaisirs simples de la vie. Et ce qu'elle préfère sans doute, c'est encore la bonne nourriture, avec sans doute une préférence pour le poisson. Cru ou cuit, elle aime cet aliment par dessus tout et si larcin elle doit faire, ce sera souvent pour filer avec un poisson entre les crocs.
Mais par dessus tout, la grande passion de la laguz est sans doute la danse. Son agilité et ses réflexes la prédisposaient peut-être à aimer cette activité, mais elle aime sentir son corps glisser sur les notes d'une musique entrainante, tirer ses muscles et ses membres pour suivre la mélodie et s'accorder toute entière aux harmoniques. Sans aucun doute, danser est ce qu'elle aime faire plus que tout au monde, et si elle devait entendre de la musique, vous pouvez être sur qu'elle laissera au minimum sa démarche se plaquer au rythme de la mélodie.


PHYSIQUE : Khar'a est une adorable laguz féline de la race des chats. De petite taille sous sa forme humaine, elle a l'air plus jeune qu'elle ne l'est en réalité. En faite, on pourrait presque lui donner une quinzaine d'années alors qu'elle en compte 17. Menue, elle ne dispose pas de formes particulièrement affriolantes et elle s'en contente parfaitement bien. Une poitrine ni trop grosse ni trop petite, un ventre plat et de longues jambes, les os de sa colonne vertébrale se prolongent en une looongue queue de chat noire au bout blanc, qu'elle aime orner d'un épais ruban rouge, que ce soit sous sa forme humaine ou animale. Un peu de coquetterie n'a jamais fait de mal à personne, et Khar'a aime la beauté. Son visage n'en est pas exempt d'ailleurs. De grands yeux rouges aux pupilles fendues éclairent son visage enfantin, barré par un nez fin et droit et des lèvres ni trop épaisses ni trop fines. Son crâne est surmonté de deux oreilles de chat noires à l'intérieur rose et blanc, et son visage est encadré d'une longue chevelure rouge qu'elle réunit en deux tresses partant de la base de ses oreilles. Les tresses sont accrochées à l'aide de deux rubans noirs, et elle aime y accrocher des grelots car elle en apprécie le son. Elle porte en règle générale des robes noires courtes la laissant libre de ses mouvements, et elle ne se chausse pratiquement jamais.
Lorsqu'elle prend sa forme féline, elle arbore une forme de chat noir. De la taille d'une petite panthère, son pelage sombre est plutôt long, et le bout de sa queue, de son museau et de ses pattes sont blancs. Ses muscles sont fins, taillés pour l'agilité et la vitesse plus que pour la force brute. Il en va d'ailleurs de même pour sa forme humaine... Tous ses mouvements, quelque soit sa forme, sont empreint d'une grâce espiègle qui la rendent tout simplement adorable, et ses yeux doux feront facilement oublier ses frasques... Pour peu que vous soyez sensible à son charme tout innocent.





Who I was

BIOGRAPHIE : « Les humains sont mauvais, Khar'a. Méfie-toi d'eux comme de la peste... »

Voila peu ou proue ce que répétait sans cesse Bay'Sha à sa fille. Depuis aussi loin qu'elle se souvienne, sa mère avait toujours entretenue une rancœur envers les humains qu'elle ne comprenait pas. Bien sur, tout le monde dans le village détestait les humains... L'état Beorc voisin, Criméa, avait beau avoir déclaré qu'il n'acceptait plus le racisme que les humains faisaient subir aux Laguz, il s'en trouvait encore pour les insulter, les traiter de sous-humains et même pour massacrer leur peuple. Mais Khar'a avait l'impression que dans le cas de sa mère, le ressentiment était bien plus profond. Cela était peut-être dû aux raids fréquents que faisaient les populations Criméennes sur les Gallians. En faite, la fillette voyait souvent revenir dans son village des amis à elle ou à sa mère qui avaient étés maltraités. Bleus, bosses, plaies et fractures étaient monnaie courante dans son village, car il se situait proche de la frontière entre les deux pays et que le racisme, quoi qu'en dise la reine Elincia, était toujours bel et bien présent dans l'esprit des humains. De fait, il suffisait de quelques heures de marches aux habitants du village natale de la féline pour atteindre un village Beorc appartenant à la nation de Criméa.

Khar'a n'aimait pas les humains. Peut-être par mimétisme, car elle faisait comme les autres habitants de son village, peut-être aussi parce-qu'elle était révoltée parles mauvais traitements que les humains faisaient subir aux siens. Et déjà à l'époque, elle n'admettait aucune contrainte. Sa mère avait beau lui répéter les consignes de sécurité de base, elle était déterminée à aller voir les humains pour leur dire de cesser de maltraiter les Laguz. Elle devait avoir six ans lorsqu'elle décida de mener son projet à bien. Elle ne craignait pas de se faire blesser, elle était encore bien insouciante... Elle entraina quelques uns de ses amis avec elle et, sous leur forme animales, ils entreprirent d'aller voir leurs encombrants voisins. Pour tout dire, ils n'arrivèrent jamais vraiment jusqu'au village des humains. Les amis de la fillette se fatiguaient sur la route, et elle finit le chemin seule jusqu'à arriver en vue du village à la nuit tombée. Et elle fut si surprise par ce qu'elle vit qu'elle en oublia ce qu'elle était venue faire.

Un grand feu brûlait non loin du village. Cachée dans les fourrés, Khar'a observait les humains aller et venir, portant des plateaux de nourriture pour les poser sur de grandes tables dressées autour du feu. Durant toute sa courte existence, elle s'était imaginée les humains comme des êtres immondes, peut-être même des monstres, dont le seul but était de faire souffrir son prochain... Mais eux, ils semblaient différents. Ils riaient, parlaient et s'entraidaient comme le faisaient les Laguz entres eux. Subjuguée, dévorée par la curiosité, elle les observa durant plusieurs heures tandis qu'ils se livraient à des festivités. Certains faisaient de la musique, et depuis sa cachette elle entendait des fantômes des notes qu'ils produisaient. D'autres faisaient bouger leur corps en suivant les mélodies, et le reste des humains mangeaient et se relayaient pour distraire leurs semblables. Elle était tellement prise dans ce qu'elle observait qu'elle n'entendit pas les pas feutrés de sa mère qui approchait d'elle le plus discrètement possible, ne tenant pas à attirer l'attention des humains. Elle saisit sa fille par le col et l'emporta vers chez elles, furieuse après elle et dévorée par l'inquiétude.

C'étaient les amis de Khar'a qui avaient alertés la mère de cette dernière, et elle était immédiatement partie à la recherche de sa fille en vadrouille. Ce jour la, l'enfant eut droit au plus grand sermon de toute sa vie. Les humains étaient mauvais, et s'ils avaient eu l'occasion de la voir ils l'auraient certainement tuée, ou pire encore. La fillette ne comprenait pas ce qui pouvait être pire que mourir, mais les menaces dont l'abreuva sa mère suffirent à refroidir ses ardeurs... Pour un moment du moins. Mais elle était profondément troublée par ce qu'elle avait vu lors de son expédition, et par la suite elle retourna souvent voir ce village...

Parfois, elle tombaient sur des scènes parfaitement banales. Les humains s'occupaient de leurs bêtes et de leurs champs, surveillaient leurs enfants comme n'importe quel Laguz civilisé, et rentraient chez eux le soir pour manger et dormir. Lorsque tout le monde était plongé dans le sommeil, Khar'a poussait parfois l'audace jusqu'à s'approcher du village, y entrant même parfois pour regarder par les fenêtres les humains qui rêvaient. Et parfois, elle arrivait alors que le village entier faisait la fête, et elle regardait avec une fascination émerveillée les danseurs et les musiciens. Son oreille fine appréciait beaucoup les mélodies, mais elle trouvait plus magnifique encore les danseurs, dont les mouvements gracieux lui procuraient des frissons. Quand elle les regardaient danser, elle avait l'impression que le temps s'arrêtait, qu'ils se produisaient juste pour elle.

Bay'Sha avait essayé de retenir sa fille. Mais Khar'a trouvait toujours le moyen de s'en aller pour observer les humains, aussi résolu-t-elle de la suivre pour surveiller qu'il ne lui arrive rien de mal car elle était terrorisée par les risques que couraient sa fille. Elle gardait un œil dessus de loin, prête à intervenir n'importe quand pour la sauver si le besoin s'en faisait sentir. Mais la fillette faisait preuve d'une prudence craintive et veillait à rester cachée, ne laissant jamais les humains s'approcher d'elle plus que de raison. Quelque peu rassurée, Bay'Sha surveillait tout de même sa fille.

Khar'a grandissait petit à petit. Plus elle observait les humains, plus elle les trouvaient intriguant. Comment pouvaient-ils produire des choses aussi merveilleuses que la musique et la danse et se montrer suffisamment cruels pour faire tant de mal aux Laguz ? C'était à n'y rien comprendre ! Cependant, elle admirait les arts des humains. Lorsqu'elle ne les observaient pas, elle s'isolait dans une clairière non loin de son propre village et se mettait à chantonner pour se donner un rythme. Alors, elle essayait de reproduire les mouvements des danseurs. Elle pouvait y passer des heures, peu importe le temps. Qu'il pleuve, vente, neige, ou au contraire que le soleil l'écrase de sa chaleur, elle laissait ses pas suivre les mouvements de plus en plus familiers, gagnant chaque jour en grâce et en souplesse. Lorsque Bay'Sha découvrit la passion de sa fille, cette dernière était âgée d'une quinzaine d'années. Elle n'y tint plus. La féline ne pouvait pas se laisser influencer par les humains. Ils étaient foncièrement mauvais, mais elle n'arrivait pas à le faire comprendre à Khar'a... Alors elle résolut de lui révéler son secret.

Un matin, elle entraina sa fille dans la nature en lui disant qu'elles allaient faire un pique-nique en famille. Sans méfiance, Khar'a accompagna sa mère, impatiente de manger le poisson qu'elle avait si bien préparé. Pour ça, sa mère était une excellente cuisinière... Les deux Laguz s'installèrent dans une clairière, et tandis qu'elles déballaient la nourriture, Bay'Sha réunissait son courage. L'instinct sensible de l'adolescente s'éveilla lorsqu'elle entendit le énième soupire poussé parsa mère, et elle s'en approcha pour poser une main sur son épaule, inquiète.

« Quelque chose ne va pas, maman ?
- Viens t'asseoir, Khar'a... Il y a quelque chose dont je dois te parler depuis longtemps, mais c'est tellement dure... »

Interpellée, inquiète mais en même temps curieuse de savoir quel était cette si terrible chose dont sa mère voulait l'entretenir, elle s'installa sur la nappe de toile qu'elles avaient étendues dans l'herbe haute. Bay'Sha rejoignit promptement sa fille, prenant une grande inspiration. Elle sentait presque les larmes lui monter aux yeux, tant ce qu'elle s'apprêtait à dire à sa fille la faisait encore souffrir, même quinze ans après...

« Tu ne t'est jamais demandé ce qu'il était arrivé à ton père ? »

La féline réfléchit soigneusement à cette question, car les questions que sa mère lui posait étaient toujours importantes. Elle s'était souvent demandé pourquoi elle n'avait jamais connu son père... Sa mère lui avait dit qu'il était mort avant sa naissance, mais elle n'en avais jamais su plus. Elle avait posé des questions, mais sa mère avait toujours fait mine de ne pas l'entendre ou avait détournée la conversation. Peut-être allait-elle enfin savoir ce qu'il était advenu de son père, finalement... Elle hocha doucement la tête en réponse à la question de sa mère, devinant également que faire ces révélations allait être une épreuve pour Bay'Sha. Les yeux de cette dernière s'embuaient déjà.

« Ton père... A été capturé par des humains peu de temps après ta conception. Il se battait auprès de notre roi, tu comprend... Il était souvent sur les champs de bataille... Et puis un jour, les humains de Daein l'ont trouvé blessé sur un champ de bataille et ils l'ont emmené. »

La voix de la femme tremblait, et l'adolescente pressa son bras doucement pour la rassurer et l'encourager à poursuivre son récit. Les guerriers Laguz restés sur les champs de batailles n'étaient-ils pas achevés par les humains normalement..?

« Ils l'ont emmené et... Ils ont fait des expériences sur lui. Pour le rendre plus fort, plus résistant... Mais... Ils ont totalement détruit son esprit. Ils en ont fait une marionnette parfaitement obéissante, comme un chat domestique, et ils l'ont fait combattre ceux de sa propre race. Finalement, il est mort des effets secondaires des produits qu'ils lui avaient injectés... »

La voix de Bay'Sha s'était fait de plus en plus incertaine alors qu'elle se souvenait de la dernière fois qu'elle avait vu son amant : L'esprit détruit, incapable de reprendre sa forme humanoïde, il tuait ceux de sa race, et même d'anciens compagnons d'arme... Enceinte à l'époque, elle n'avait pas pu se joindre aux combats, mais elle l'avait vu, et elle en était sortie meurtrie à jamais. Finalement, les barrages qui retenaient ses larmes cédèrent et elle se mit à pleurer en silence.

Khar'a sentit ses yeux devenir humides eux-aussi. De tristesse, car elle était désolée pour sa mère qui avait du vivre cette terrible épreuve. Mais aussi de rage. Comment les humains avaient-ils osé faire une chose pareille..! Elle n'en revenait tout simplement pas. Blesser, même grièvement, des Laguz était déjà révoltant. Mais annihiler une psyché, priver totalement un être de son libre arbitre... Elle trouvait cela parfaitement inacceptable. Elle serra sa mère contre elle, la berçant pour la consoler de son malheur.

Mais la féline ne réagit pas vraiment comme l'avait pensé sa mère au départ... Khar'a évita dès l'or le village des humains qu'elle avait l'habitude d'observer, et Bay'Sha s'en sentit rassurée. Mais l'adolescente disparaissait toujours régulièrement dans la forêt, s'adonnant à la danse et à de longues périodes de réflexion. Peu importe comment elle réfléchissait au problème, les humains restaient un parfait mystère pour elle. Elle ne comprenait pas comment ils avaient pu se montrer aussi cruels si ils pouvaient créer la danse et le chant, s’entraider et vivre ensembles de manière civilisée. Cela dépassait l'entendement. Elle avait besoin d'en savoir plus. Mais elle savait que jamais sa mère ne la laisserait partir...

Un an plus tard, lorsque Bay'Sha se réveilla, elle trouva une note laissée par sa fille sur la table du salon.

" Bonjour Maman.

Tu seras probablement très énervée en lisant ces lignes, mais il était nécessaire que je fasse ce que j'ai fait. Lorsque tu liras ces mots, je serais probablement déjà loin. Mais s'il te plait, pardonne-moi... Il fallait que je comprenne. Les humains sont horribles. Ils blessent les nôtres, ils les tuent même, et lorsqu'ils ne le font pas ils en font des poupées sans volonté. Mais ils vivent en communauté, ils s'aiment et s'entraident, et ils créent l'art. Je dois absolument comprendre comment un tel contraste est possible. Je ne trouverais pas le repos tant que je n'aurais pas élucidé ce mystère. Et pour comprendre, il faut que je vive dans leur monde. Je ferais attention, je ne m'approcherais pas des humains qui ont l'air menaçants. Je t'enverrais régulièrement de mes nouvelles, pour que tu ne t'inquiète pas. Je ne sais pas encore trop comment, mais si je croise des Laguz qui vont vers Gallia, je leurs diraient de venir te voir pour te rassurer sur mon sort, alors je t'en prie ne t'en fait pas pour moi... Je reviendrais te voir lorsque ma quête sera achevée. Je t'aime de tout mon cœur.

Khar'a."

La main tremblante, Bay'Sha laissa tomber la feuille sur la table.

A bien des lieux de là, Khar'a marchait, le cœur empli de détermination. Le temps de l'incertitude était finit. Elle allait voyager, découvrir le monde et ses habitants, comprendre les hommes et les peuples... Et elle en reviendrais grandie.





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