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[En cours] " Je suis l'artiste sans voix, le danseur sans pas, celui qui ne peut ni attendre, ni espérer "

Sylphydre
Sylphydre
Messages : 1
Lun 23 Juil - 15:08
Sylphydre
Sylphydre Arturio Archibald de Lakshan

[En cours] " Je suis l'artiste sans voix, le danseur sans pas, celui qui ne peut ni attendre, ni espérer " Yz2L73u
    Nom : Issu du Marquisat de Lakshan, à Criméa
    Prénom : Le Jeune Sylphydre Arturio Archibald
    Surnom : Surnommé aussi Sylph ou tout simplement Sylphydre
    Âge :  Possède un âge correspondant au chiffre 23.
    Sexe :  Le jeune Marquis est un Homme
    Race :  De race Beorc.
    Peuple / Classe :  Il est un excellent Archer en devenir.
    Niveau souhaité :
    Rang : Âme vengeresse recherchant les vipères passées, mais avant tout Marquis de Lakshan
    Pays d'origine : Il réside sur son lieu de naissance, Criméa.

Psychologie.

Le mental de votre personnage. 5 lignes pleines requises.


Physiologie.

L'apparence de votre personnage. 5 lignes pleines requises.


Biographie.

Je déteste la continuité des événements. Comme je déteste me rappeler des abrutis qui disent que tout cela est consigné dans des écrits quelconques. Ce fut ainsi que, en montrant les pittoresques possibilités de chacun à narrer, je mettrais en lumière l'obscure inutilité qu'est mon histoire. De la prose, aux hideux poèmes en passant par une narration classique. Je jouerai avec ces mortifères armes à double tranchant que sont les mots. Je jouerai avec les genres. Je jouerai avec vous. Je jouerai seul. Cette oeuvre auto-biographique, je m'en passerai avec plaisir. Néanmoins, une vipère du nom de Sekmet désire que je lui transmette quelques détails de mon passé afin de fournir toute l'aide possible.

Je n'aime pas la continuité des événements. Comme je déteste me remémorer ces derniers. Il est vite malaisant, presque pervers de se remémorer uniquement des moments marquants. Aussi triste, heureux. Ces pivots ne sont rien s'il n'y a rien pour les joindre. Je vous fournirai ainsi matière à former des ponts plus ou moins cohérents afin de joindre ces pivots. Doutez si vous voulez de la véracité des matériaux, j'en ai cure. Car ce qui est écrit sera aussi pur et déformé qu'est ma jeunesse fantasmée, mon adolescence rêvée et ma vie d'aujourd'hui dont je ne changerai pour rien au monde. En espérant que votre lubie sera comblée dans cette nouvelle.

N'oubliez pas : Redoutez les vipères se terrant dans l'ombre.

Sylphydre Arturio Archibald de Lakshan

La première

Les flammes dansantes le long d’une nuque découverte,
caressant sa nuque. Prise au pige, inerte,
tentait-elle de s’évader par un lâche procédé ?
Mais Son œil en était parfaitement rodé.

Ces vipères ont un comportement de proie.
En feintant ainsi le trépas, elles cherchent l’émoi
d’une quelconque foule silencieuse.
Et quand leur repas retrousse ses pas, malicieuses,

Elles croquent dans la pomme, défendu fruit.
Laissant ce venin pestiféré dont leurs paroles sont enduites
s’ancrer dans les veines des indécis.

Si ceci ne fit qu’esquisser un sourire circonspect,
Sa main se glissa sur le visage endormi sous un faux aspect
« Utiliser ta richesse ne t’offrait qu’un sursis. »


Ses premiers mots furent lancés à l’adresse de la pestiférée. Elle ouvrit ses paupières, offusquée mais aussi effrayée par Ses manières. Cette tonalité était froide, manichéenne. Son âme n’allait point recueillir de peine quand Il ramassera le bouton de rose nécessaire à sa survie. Il l’extirpera sans aucun doute sans pré-avis, avec une hargne et une haine viscérale qu’elle pouvait voir dans la région orbitale de son visage. Son regard, clignant ensuite d’un cynisme refoulé, s’en alla se planter dans ses prismes organiques.

Tremblant de toute part, la demoiselle ne savait pas comment réagir à ce grand homme qu’elle connaissait. Elle en identifiait que la forme. Le fond lui paraissait cependant différent de ce qu’elle avait connue jadis. Sa main se retira de sa mine, Ses lèvres se laissant retomber en une mine des plus neutre.

« Qu’es- »
« 9 ans. » rétorqua d’une voix sèche l’Être aux yeux perçants face à elle. Le silence retomba aussi lourdement et abruptement qu’il fut brisé en milles éclats d’incompréhension. Puis Il reprit ces muets bouts pour les piller d’une voix plus solennelle. « Tu n’as plus rien pour atteindre la dizaine. »

Il se recula pour sortir de son sac des petites fioles. Silencieusement, Il se pencha pour déposer ces petites flasques autour de la demoiselle, un sourire se dessinant à nouveau. Se redressant une fois Sa tâche accomplie, Ses yeux se posèrent de nouveaux dans celle de la demoiselle. Se secouant avec fracas une fois l’effet du sommeil écarté par une adrénaline montante, elle chuta devant la fatalité. Elle était ficelée, attachée fermement contre une vieille colonne. Ses jambes aussi étaient nouées par ces mêmes mains efficaces. La demoiselle inspira pour tenter de calmer la rythmique défaillante de son cœur de chair. Elle allait sortir les crocs. Il le savait. Alors elle Lui rétorqua.

« Et tu vas faire quoi après ? En ne me voyant pas arrivée, Sekmet va venir et- » Puis Son sourire se déforma en quelque chose d'autre. Quelque chose qui fit frémir en la demoiselle un inconfort grandissant. Le silence reprit de nouveau son royaume. Il finit par Se reculer d'elle. Lentement, dans un silence presque gênant au vu de la situation, Il fit quelques pas en face d'elle. Il laissa Ses talons claquer contre les pierres craquelées, Ses mouvements précis et fins désirant exprimer la complexité de Ses sentiments devant de mortels yeux. Il savait qu'elle n'en verrait pas toutes les nuances, mais au vu de son regard écarquillée, elle devinait sans peine qu'Il interprétait une dernière danse. Il finit par s'arrêter dans un dernier pas sonore, écartant lentement Ses bras, une flèche dans Sa main gauche, Son arc dans l'autre. Cette prestation était spéciale pour Lui, mais aussi pour elle, les yeux rivés sur la flèche.

« Lena. Professeur de danse. Troisième amante du marquis de Lakshan. Votre crime est la désertion de votre nation ainsi qu'extorsion de fond. » Lentement, Ses doigts de la main gauche se glisse sur la corde, caressant cette fine mais rigide corde. Il soupira doucement, avant de bander Son arc vers elle, remontant petit à petit la flèche afin qu'elle atteigne les deux yeux. « Ainsi que de la laisser faire ce qu'elle veut. » Une assourdissante assonance entoura de nouveau la scène malgré l'écho que pouvait produire ces ruines. Il resta ainsi, Ses yeux glaciales la jugeant sans aucune forme de procès formel. En tout cas, pour Lui, il était sûr et certain d'atteindre sa cible. Il la regardait feindre l'indifférence. Puis se secouer dans tous les sens d'une rage montante, face à quelque chose qu'elle ne pouvait appréhender. Puis elle jeta ce regard qui se voulait plaintif. Cela ne marchait pas dans Sa divine Justice. Après elle resta figée à regarder la flèche, versant de lourdes larmes.

Enfin, elle baissa la tête, cessant toute activité contre Lui. Rien n'y faisait. Ce n'était que peine perdue. Il continua de poser Ses yeux sur cette chevelure rousse, puis baissa lentement Son arc. Un simple « Choisis ta déesse et prie pour sa miséricorde. », puis Il relâcha la corde. Cela visait aucunement la demoiselle, mais la petite fiole devant elle, qui produisit une effroyable explosion. Oui, ces fioles étaient de magnifiques mines concoctées avec soin. Le jeune home se recula ensuite, bandant de nouveau son arc et frappant la deuxième fiole. Cette fois-ci, la mine explosa une partie du pilier où était attaché la demoiselle. Ne restait plus que deux fioles, alors qu'une douce mélopée se faisait entendre à Son oreille. Ce pilier était bien un pilier porteur de ce monument en ruine. Il en avait cependant assez vu de cet endroit. Alors il se retourna lentement, faisant de grandes enjambées à pas de courses dans le but de s'extraire de cet endroit.

Il ne savait pas de quand datait cette ruine d'Hatary. Mais ce qui était sûr fut que ce lieu de vestiges allait de nouveau enfouir des concepts du passé. Son passé. Un fois sorti de là, Ses yeux se posrent sur une femme s'agitant dans tous les sens. La seule chose qui pouvait la définir comme indiivdu était sa peau basanée, et ses attributs lupins faisant d'elle une laguz de ce peuple du désert.

« M-MAIS TU ES UN FOU FURIEUX ! » S'exclama cette dernière alors qu'elle faisait des ronds dans le sable, ayant commencé à creuser un petit sillon. « Les esprits ne vont pas apprécier cela. » Il posa ses yeux sur elle en soupirant longuement. « ... Fais le rituel d'apaisement et presse toi. Après tout, ce n'est pas comme s'il fallait en retrouver 3 autres, Femme. » Le Beorc s'avança lentement en dehors des dalles encore présentes de l'endroit, rangeant précautionneusement Son arc. Jetant un dernier coup d’œil à son point de retour -entièrement détruit par les explosions-, il espérait juste avoir tué la vipère sans aucune douleur en l’assommant d'un bon coup de pierre dans la tronche.

Le désert exprimait sans doute son mécontentement avec un vent plus intense se fracassant contre Son visage basané. Plissant Ses yeux, il finit par se couvrir les lèvres d'une étoffe provenant de son long manteau.

« ... Sekmet. »
« Quoi ? »
« Est-ce qu'écouter ses sentiments fait-il vraiment de nous des êtres empathiques ? »
« ... On cherche à relativiser un meurtre jeune homme ? ~ »
« ... Il n'y a de meurtre que si on considère que le tué a une quelconque importance. Et pourtant, il y a toujours une raison à cela. Alors pourquoi le faire ? Est-ce si mal ? »
« ... T'es encore un bambin. Je ne sais pas vraiment si ce que tu penses est juste... Tant que ta récompense est aussi grande que ce que tu narres, je serai prête à faire cette descente en Enfer. »
« ... Sekmet ? »
« Hum ? »
« Tu es un parasite. »
« Un parasite utile, donc indispensable ~ »
« ... Couplée à la démone la plus franche que je n'ai jamais vu. »

Un léger sourire amusé, Le voilà reparti avec Sa guide. Sa volonté a donné une divine correction à un démon qui n'a plus lieu d'être après tout. Il ne manquait plus qu'un verre de jus de fruit pressé ainsi que la localisation de Sa prochaine cible pour passer une excellente journée.


Le Joueur.

    Pseudonyme : . . .
    Comment avez-vous connu DoD ? De bouche à oreille.
    Quelque chose à corriger ? Pas pour le moment.
    Expérience du RP : Un vétéran s'il mettait plus d'énergie à écrire.
    Avez-vous déjà joué à Fire Emblem ? Si oui, le(s)quel(s) ? Le 6, le 7, le 8, le 9, le 10 et le 14
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